

Là, murmure la forêt
Justine Verdier | Piano
Présentation
Des textes superbes où les poètes reconnaissent dans la nature leur propre vie intérieure. Car la nature parle à l’homme, idée commune à tous les romantiques allemands. Chez Goethe, Eichendorff, Schlegel et les autres grands poètes de ce mouvement, la Nature est idéalisée. Seul le poète a le don de déchiffrer ses secrets, lui seul peut entendre dans les murmures du vent dans les branches et dans le son des gouttes de pluie la voix du divin. Les aspects de la Nature sont un lien au divin, au sublime, pour celui qui sait voir et entendre. Et ce que l’on reconnaît dans cette Nature, fait écho au divin en nous-mêmes.
Programme
- Franz Schubert (1797 – 1828)
Heidenröslein (Petit rose des bruyères) sur un poème de J.W.Goethe, D. 257 | 1815
- Johannes Brahms (1833 – 1897)
Junge Lieder I | 1873
Meine Liebe ist grün wie der Fliederbusch (Mon amour est aussi vert que le buisson du lilas) sur un poème de Felix Schumann - Franz Schubert (1797 – 1828)
Im Frühling (Au printemps) sur un poème de Ernst Schulze, D. 882 | 1826
- Johannes Brahms (1833 – 1897)
Feldeinsamkeit (Seul dans les champs) sur un poème de Hermann Allmers, op. 86 n°2 | 1882
- Franz Schubert (1797 – 1828)
Fischerweise (Chanson de pêcheur) sur un poème de Franz von Schlechta, D. 881 | 1826
- Johannes Brahms (1833 – 1897)
Regenlied (Chant de pluie) sur un texte de Klaus Groth, op. 59 n°3 / WoO23 | 1873
- Johannes Brahms (1833 – 1897)
Klavierstücke (Pièces pour piano), op. 76 (extraits) | 1878
Intermezzo (Gracioso)
Intermezzo (Allegretto gracioso) - Franz Schubert (1797 – 1828)
Suleika I, sur un poème de J.W. Goethe/Marianne von Willemer, D. 720 | 1821
- Johannes Brahms (1833 – 1897)
Fünf Gedichte, op. 19 (extrait) | 1858
An eine Äolsharfe (A une harpe éolienne) sur un poème d’Eduard Mörike - Franz Schubert (1797 – 1828)
Die Gebüsche (Les buissons) sur un poème de Friedrich von Schlegel, D. 646 | 1819
- Johannes Brahms (1833 – 1897)
O kühler Wald (Ô Forêt fraîche) sur un poème de Clémens Brentano, op. 72 n° 3 | 1877
- Franz Liszt (1811 – 1886)
Zwei Konzertetüden (Deux études de concert) pour piano, S.145 (extrait) | 1862
Waldesrauschen (Murmures de la forêt) - Gustav Malher (1860 – 1911)
Ich ging mit Lust (Je marchais avec joie à travers un bois) sur un texte traditionnel anonyme | 1890
- Gustav Malher (1860 – 1911)
Lieder und Gesänge aus derJugendzeit, (Lieder et chansons de jeunesse, extrait) | 1888 – 1891
Ablösung im Sommer (Relève de l’été) sur un texte anonyme traditionnel - Johannes Brahms (1833 – 1897)
Lerchengesang (Le chant des alouettes) sur un poème de Karl Candidus, op. 70 n°2 | 1877
- Hans Pfitzner (1869 – 1949)
Die Einsame (Le solitaire) sur un texte de Joseph von Eichendorff, op.9 n°2 | 1888 – 1889
- Robert Schumann (1810 – 1856)
Liederkreis sur des poèmes d’Eichendorff, op. 39 (extrait) | 1840
Frühlingsnacht (Nuit de printemps)
Là, murmure la forêt
Jeudi24
Janvier
2019 11:30
Adresse
Maison de l’Amitié France-Amérique Place des Etats-Unis02400 Château Thierry